burundi bwacu

vendredi 21 décembre 2018

                    une partie de ma life




Avec ma mère à mes cotes je peux surement dire que je suis un enfant comme les autres. dans une famille pas plus riche mais qui parvient bien sur à satisfaire pas mal de mes besoins primaires: manger pour n'est pas commencer à s'habilller, se loger parcequ' on ne pourrais pas dormir dehors.

De toute façon, il n'y a pas de plus chère que chez son soi.je me suis trouvé dans une famille de trois enfants quand survient pas plus tard deux autres. Ma mère est clever je ne suis pas pret à douter de ça.je ne me souviens pas de beaucoup de choses qu'à partir de l'école primaire pour ne pas dire école maternelle. Ma mère m'a fait inscrire dans une école qui n'est pas tres loin de chez nous, dans les apartements de l'église catholique qui est le "sien"parce que c'est là où nous assistons les messes chaque dimanche.
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j'avais cinq ans à peu près à en croire mon age actuel.en tous cas pour un enfant de chez nous à la campagne on ne permettait pas qu'il soit inscrit pour debuter l'ecole primaire. on ne raconte pas là-bas ces histoires des écoles maternelles. pourquoi elle apris cette decision? ma mère de m' emmener à l'école à cet age? cinq ans .pourqoui n'est pas attendre sept ans? je ne pourrais pas refuser de toute façon je n'avais pas de choix.elle voulait peut-etre s'eloigner de moi pour s'occuper commodement des activités de ménage dont elle le premier rensponsable.Elle est la seule pour s'en occuper.je ne pourrais pas lui aider ni à cuire, ni à s'occuper des travaux champetres. tout ça pour deviner ce qui lui aurai pousser à m'envoyer sur les bancs de l'ecole.

il reste aussi de se demandr commeeeent on a pu accepter de m'inscrire pour partager l'école avec ses autres qui déja plus de sept ans. mon grand frère etait aussi dejà là-bas. il m'aidait en tout lui qui avait déjà compris pas mal de choses là-bas.moi je me promenait betement dans les enceintes de l'école.
il a fallu la fin de l'année scolaire pour confirmer que je veux accompagner les autres en deuxieme année. en deuxième année un enfant que j'avais envoiyer pous s'entrainer? c'est ce que ma mère pourrait se demander peut-etre.cette fois-ci je ne suis plus un petit, on devait me traiter comme les autres. il n'y a pas ceux qui doivent etre  battu, les autres non. si je suis en retard, je devrais aussi m'agenouiller dans les cailloux. je ne peux pas echapper à ça .je recitais à coeur comme les autres enfants les  "images ".ces histoires de "bonjour kagabo,...oui ça va merci"

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